Le Paris d’Adieu est né de ces ambitions de prolonger des obsessions d’adolescents comme ces premières creepers achetées par Benjamin à Londres ou ces bottillons de jardiniers zippés du grand-père d’Isabelle. Ce fut une longue marche provinciale en route pour la capitale qu’ils entreprirent, où leurs collections de chaussures mixtes s’est ennoblie du souvenir d’une jeunesse pleine de sons et d’images.
